On aurait encore pu dire il y a quelques semaines qu’il a « libéré la parole ». C’est vrai, mais il a fait bien plus que ça. Il a libéré l’ « INTELLIGENCE ». La chape de plomb qui interdisait au peuple de s’exprimer et même de penser est en voie de disparition. Zemmour soulève tranquillement les problèmes de fond, ceux que le peuple connait mais n’ose évoquer de peur de se faire renvoyer dans le clan des « fascistes ». Il démonte tranquillement l’inanité de cette accusation, renvoyant vers Hitler, Mussolini et Staline, anarchistes, communistes, islamo-gauchistes et autres agitateurs et casseurs de tous poils ayant endossé l’uniforme « antifas » qui a si bien fonctionné comme suppléant du pouvoir depuis quelques années.
Avec une énergie inépuisable, Eric Zemmour trace sa route à travers le pays et montre, si besoin était, que contrairement à ce que prétendent ses détracteurs, il a bien un projet : la renaissance de la France ! Et aussi beaucoup d’idées pour le mettre en œuvre, en faisant simplement preuve d’intelligence et de bon sens, qualités qu’on n’acquiert pas à l’ENA et qui font singulièrement défaut à nos dirigeants depuis quelques décennies.

Péché mortel, Zemmour est hostile à la « discrimination positive », qui privilégie l’insuffisance et pénalise l’excellence ; il est contre l’écriture inclusive et la prétendue réforme du français, qui sont une injure et une attaque frontale contre notre langue, pourtant déjà bien martyrisée.
D’un revers de main, il évacue la pseudo « culture woke » qui n’est qu’une arme visant en fait à détruire notre culture. Il confirme et banalise tranquillement le Grand Remplacement qui n’est pas une « théorie » inventée par Renaud Camus, mais une réalité objective et observable, et même reconnue désormais par deux tiers des Français !