Au revoir, Petite Fille
Le constat était déjà terrible, insupportable tant la vie de tous les jours est devenue dangereuse. Et puis, l’indicible, l’horrible, la violence extrême ont été atteints ! Le 14 octobre dernier, une femme algérienne, qui aurait dû quitter le territoire depuis longtemps, commettait l’un des assassinats les plus abjects que la France ait connue ces dernières années. Depuis 2012, 271 personnes, dont de nombreux enfants, sont morts sous les coups d’assassins de religion musulmane. (Le Figaro – 7 octobre 2019) et, selon Fondapol pas moins de 210.138 morts dans le monde entre 1979 et 2021, au cours de 48.035 attentats islamistes.
Dans une énième tragédie, notre fille, notre petite fille, notre petite nièce, notre petite cousine, la fille de nos voisins ou tout simplement l’enfant des gens d’à côté… peu importe, des habitants de notre pays à été sauvagement violée, tuée, décapitée dans une violence telle qu’il semble impossible d’imaginer les faits. Une femme qui n’avait rien à faire sur notre territoire a enlevé la vie à cette enfant dans des conditions atroces.
Alors, quand ce matin, sur France Inter,
on entends La Salamé s’indigner et oser demander à Marion Maréchal «
N´avez-vous pas honte ? », il est essentiel de bondir et de s’indigner ! Le formidable élan d’un grand nombre de français, mobilisé dans près de quatre-vingt lieux dimanche, sur la Terre de France,
serait une récupération honteuse de l’Extrême Droite ! Le message que les journalistes – qui décidément ignorent la signification du mot honte – veulent faire passer sur l’air de la «
récupération » serait celui de l’«
Extrême Droite » qui aurait besoin de ces tragédies pour exister et aurait profité de celle de notre Petite Fille pour se mobiliser. Les journalistes sont décidément ignobles.
La réponse de Marion Maréchal fut cinglante, mettant en avant le triste registre politique du principal responsable de la sécurité intérieure de notre pays, le ministre Darmanin, et la litanie des journalistes sur ce sujet, La Salamé, s’est pris une gifle : « et vous, ne vous êtes vous pas trompée de personne ? Le ministre Darmanin présent aux obsèques de cette Petite Fille, cela ne vous paraît pas indécent ? Alors, ne racontez pas n’importe quoi ! ».
Il est grand temps, comme l’a fait Marion Marechal, de remettre à leur place ces «
grattes paroles ».
Et cette journaliste prétentieuse, qui en en est le spécimen le plus représentatif, habillée et habitée de sa morgue abjecte, est de plus en plus insupportable. Elle est le flambeau – en forme de lampe à huile – d’une grande partie de la caste journalistique.https://ripostelaique.com/au-revoir-petite-fille.html