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Aurions-nous voté pour des escouillés ?
[Tribune] Assassinats et meurtres à l’arme blanche, trop c’est trop : la République des impuissants.
Le 16 juillet dernier un immigré soudanais, connu des services de police, tuait de sang froid trois jeunes gens de 16, 18 et 20 ans parce qu’ils étaient venus à l’aide de jeunes femmes qu’il importunait. Ayant quitté les lieux, il y est revenu armé d’une arme blanche afin de les tuer. La veille, un jeune homme de 23 ans était tué au couteau par un clandestin à Amiens et, le même jour, un jeune homme de 22 ans était poignardé à mort à Metz. Le 17, c’est à Fleury d’Aude qu’un jeune saisonnier était poignardé. On se souvient de l’égorgement d’Alban Gervaise, médecin militaire, devant les yeux de ses enfants de 3 et 7 ans qu’il allait les chercher à leur école catholique. Son meurtrier avait déclaré avoir agi au nom de Dieu.
Et pendant ce temps, qu’est ce qui soulevait l’indignation de la secte médiatico-politique politiquement correcte ? Une maladresse verbale de la ministre Caroline Cayeux. Pétition, indignation, cris et hurlement de LR à l’extrême gauche pour des propos, certes maladroits, mais qui n'étaient pas des insultes à l’égard des homosexuels.
Car enfin, s’il y a bien quelque chose qui menace vraiment la République, qui contribue à déliter le lien social, à instiller la peur, c’est ce déchaînement de violence dans nos rues et sur nos places. Ce sont ces bandes qui s’affrontent à la machette à Montpellier. Ce sont ces 62 quartiers de non droit, baptisés dans l’insupportable jargon politiquement correct « quartiers de reconquête républicaine », là où la loi ne s’applique plus. C’est le chaos au stade de France, lors de la finale de la Ligue des champions.
Le scandale réside aussi dans le déni ou la banalisation de ces crimes et actes de délinquance par une partie de la classe politique et médiatique et le refus de voir qu’ils sont liés au terrible fiasco du « laisser faire/laisser passer » en matière d’immigration. Bien sûr, les journalistes des médias de désinformation s’empressent de dire avec un air triomphant, par exemple à propos des bandes du stade de France, « mais ce sont des Français pour une grande part ». Oui, et alors. C’est justement bien la preuve du terrifiant bilan de nos politiques d’abandon. Que certains Français d’origine immigrée, de la première, deuxième voire troisième génération refusent nos règles de vie en société démontre de façon criante l’échec de l’assimilation et même de l’intégration de gens qui, au demeurant, se disent eux-mêmes « Français de papier » en jouant sur les mots. Certains et pas tous, bien évidemment. Car les personnes venant d’Asie du Sud Est, de Chine, les arabes chrétiens d’Orient et bien des personnes venant d’Afrique du nord ou noire ne rejettent ni nos règles de vie en société ni nos lois. Toute généralisation serait hâtive. La question n’est pas ethnique mais principalement culturelle et amène à soulever la question d’un certain islam et d’une haine entretenue à l’égard de la France. Encore faudrait-il avoir le courage de le reconnaître. Et d’agir en conséquence pour contrôler et choisir qui nous acceptons sur notre territoire, qui nous n’acceptons pas et qui nous souhaitons expulser. Si des engagements internationaux paralysent notre action et nous empêchent d’assurer la protection des nos citoyens, alors il faut les renégocier, émettre des réserves voire les dénoncer.
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