Savez-vous que Nantes ressemble de plus en plus à Marseille ? Pas pour le climat ou l’accent chantant, hélas, mais pour l’insécurité !

Le Figaro vient de tirer la sonnette d’alarme. Ce qui se passe dans la capitale historique de la Bretagne est hallucinant.

On imagine volontiers Nantes comme une tranquille préfecture provinciale. Eh bien, pas du tout !

S’il y a une loi qui s’impose à Nantes, c’est celle de la jungle.

D’après Le Figaro, la ville est « en proie à une insécurité endémique et à la violence décomplexée de caïds qui font régner la terreur jusque dans les rues piétonnes du centre-ville. »

Un rapport de la préfecture de la Loire-Atlantique, publié le 3 février 2022, ne laisse aucune place au doute : la violence explose.

L’augmentation des atteintes volontaires à l'intégrité physique a nettement augmenté durant le quinquennat d’Emmanuel Macron.

Jugez vous-même : 5532 faits ont été enregistrés en 2017, contre 6480 en 2021. Quelles sont les violences en question ?

Eh bien, on trouve notamment des vols à l’arraché, des rackets, des agressions à l'arme blanche, des tentatives de viols.

Deux exemples récents donnés par Le Figaro : le vendredi 4 février, le patron d’un bar a été roué de coups par plusieurs individus car il refusait de se soumettre à une tentative de racket.

Le lendemain, samedi 5 février, une jeune femme de 18 ans a été agressée au couteau, en plein centre-ville. Thierry, serveur dans un bar, témoigne auprès du Figaro : « C'est comme ça sans arrêt. Le jour ils vendent du shit, des cigarettes de contrebande et ils détroussent les gens dans le tram ou dans la rue. La nuit c'est la même chose mais avec la violence gratuite en prime. »

Qui sont-ils ces « ils » dont parle Thierry ?

Le Figaro donne la réponse : « des jeunes hommes originaires de pays d'Afrique et d'Europe de l'Est. »
Vous voyez, encore une fois les Français payent les conséquences dramatiques d’une immigration incontrôlée.

C’est bien simple, on entre en France comme dans un moulin. Il suffit de prétendre que vous êtes réfugié, et hop on vous donne votre ticket d’entrée.
La charité exige, dit-on, de ne refuser personne.
Stop ! ça suffit ! 

Autrement dit, si un migrant menace la paix et la prospérité du pays qu’il prétend rejoindre, la justice et la prudence demandent qu’il ne soit pas accueilli.
Cette situation n’est pas une fatalité, il faut simplement changer de lunettes et ne plus laisser les bons sentiments prendre le pas sur la raison.