Breton, commissaire d’une Europe dictatoriale dont les racines sont nazies
Thierry Breton est le prototype de ces individus «citoyens du monde», c’est-à-dire mondialiste pour qui défendre son pays est une injure et un gros mot.
Sans rentrer dans les détails de son parcours, il suffit de mentionner qu’il a commencé sa vie à l’école Alsacienne, comme les enfants de Pap Ndiaye, avant d’intégrer de prestigieuses écoles.
Devenu patron, il fut l’homme à la réputation de «killer» dont l’arrivée dans une entreprise signifiait qu’il allait rapidement y avoir du sang sur les murs afin que les comptes s’améliorent.
D’octobre 2002 à février 2005 il fut à la tête de France Télécom (donc mon «patron» puisque j’y étais salarié), nommé par le gouvernement avec pour mission de redresser les comptes de l’entreprise. Il y laissera un triste souvenir car à l’initiative d’un plan de redressement, dont son successeur Didier Lombard récoltera les fruits, matérialisés d’une part, par des résultats économiques très favorables, et d’autre part, par une vague de suicides sans précédent. Près de 40 salariés le payeront de leur vie en seulement quelques années du fait de la politique de gestion du personnel qu’il initia.
Thierry Breton laissera donc aux salariés de France Télécom le souvenir d’un patron ayant du cœur.
C’est cet individu charmant que l’on retrouve commissaire européen, nommé par Macron en 2019.
Il vient de se rappeler au bon souvenir des populations de l’Union européenne avec son récent discours sur les mesures qu’il entend imposer à tout le continent européen, contre les «discours de haine ou appelant à la révolte» en s’en prenant aux réseaux sociaux qui cautionneraient ces discours ou laisseraient prospérer ces discours sans réaction.
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