Comment gérer les traités internationaux et la remigration ...
De nombreux commentateurs politiques, journalistes, politiciens, docteurs en politique et en Droit, universitaires viennent régulièrement rappeler sur les plateaux TV que
le traité de l’Union européenne n’autorise pas la remigration d’indésirables, ou de populations qui se seraient révélées, à l’usage du vivre bien-ensemble de la fable, tellement odieuses qu’elles se seraient rendues toutes seules indésirables aux habitants historiques d’un pays de l’Union.
Quand je pose Union, je pense surtout à mon pays, la France, qui est en train de vivre le calvaire des quatorze stations du Christ à porter une croix trop lourde pour ses épaules féminines sur le Golgotha de la submersion migratoire.
C’est ainsi opposer un interdit de Droit qui serait incontournable, comme une fatalité supérieure contre laquelle le statut d’être simplement humain ne peut s’opposer, à l’égal des douze plaies d’Égypte, qui se seraient abattues sur les peuples qui n’auraient aucune latitude, sauf à finir de se torcher le calice jusqu’à la lie, au risque de s’étrangler dans le dernier glouglou dans un étrange suicide imposé.
On fera déjà remarquer qu’il s’agit là d’interdire aux populations historiques d’un pays de s’organiser comme elles le souhaitent, en invitant chez elles qui leur est supportable, tout en envoyant paître qui leur est insupportable : c’est donc une violation grave du principe premier du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Or ce principe n’est rien d’autre qu’un droit naturel, donc, par essence, de valeur, dans la hiérarchie des normes, largement supérieure à toute règle de droit écrit.
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