En courtisant la Chine, l’Allemagne poignarde la France

8 novembre 2022 Jacques Chassaing

Il fallait le voir courir pour être sur la photo, le petit chancelier Olaf Scholz.

Alors que le Parlement allemand vient de glisser 200 milliards d’euros dans le bastringue boche pour amortir le boomerang des sanctions de von der Leyen contre la Russie, Macron reste coi.

Lui et son grand argentier, Le Maire, qui voulaient terrasser l’ours de Moscou, sont blêmes et caricaturaux comme des décalcomanies.

Poutine pourrait d’ailleurs reprendre la fameuse expression en vogue dans les années 1970-80. : « je vais te décalquer après les murs »,

La scène est brève, aussi brève que la rencontre Olaf et Xi, mais elle illustre toute la docilité de celui qui vient d’accourir en Chine, en compagnie de grands patrons allemands.
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