C'est ce que disent les musulmans après s'être occupés des Juifs de France, ils s'occuperont des Chrétiens de France, ils ont déjà commencé à Crépol !!!

Comme toute tragédie historique, l’Holocauste ne peut être considéré que rétrospectivement, et sa horrible totalité – 11 millions de morts, dont six millions de Juifs – donne souvent l’impression que les tentatives de compréhension des actions et des logiques de ses auteurs sont perverses, voire insultantes. On peut faire valoir que seul le mal pur peut provoquer un désastre d’origine humaine d’une telle ampleur, et qu’expliquer l’accumulation de ces crimes de guerre généralisés ne fait qu’humaniser la voie inhumaine et génocidaire choisie par les criminels. Ce n’est qu’en étudiant les préludes aux catastrophes que nous pourrons empêcher la répétition de telles atrocités.

Pas d’échappatoire : l’Allemagne met fin à l’émigration

Montée et chute des nazis, la solution finale ...

Octobre 1941 – deux mois avant l’entrée des États-Unis dans la Seconde Guerre mondiale – marqua le début de la fin pour les millions de Juifs dans l’Europe contrôlée par les nazis. Jusqu’alors, Hitler se contentait de voir la plupart des Juifs s’enfuir, simplement par crainte de son autocratie aryenne. Ensuite, il a presque entièrement annulé l’émigration.
Au début de son règne, Hitler n’avait aucune intention d’assassiner quelque six millions de Juifs. Ce n’est pas mon opinion, mais une évaluation proposée par une autorité pro-juive non moins que le Musée commémoratif de l’Holocauste des États-Unis.
Ce n’est qu’au milieu et à la fin de 1941 qu’Hitler adopta ce qui devint connu sous le nom de « Solution finale », l’extermination systématique des Juifs d’Europe. Mais une fois cette voie choisie, le plan a été mis en œuvre avec zèle. La grande majorité des Juifs tués pendant l’Holocauste sont morts au cours des trois années qui ont suivi et qui, heureusement, ont duré plus de trois ans.
Le reste appartient à l’histoire – une histoire horrible, horrible. Avec la chambre à gaz testée avec succès sur des prisonniers de guerre soviétiques en septembre 1941, en 1942-43, quelque 1,7 million de Juifs en Pologne – soit plus de la moitié de sa population juive d’avant-guerre – furent massacrés en grande partie de cette manière. En Ukraine, 1,5 millions de personnes supplémentaires ont été exterminées, principalement par des pelotons d’exécution massifs connus sous le nom d’Holocauste par balles.
Alors que la guerre tournait et que les troupes nazies reculaient vers l’Allemagne, elles emportèrent l’Holocauste avec elles, faisant marcher les Juifs émaciés devant leurs chars et leurs camions. À la chute de Berlin, les deux tiers des Juifs d’Europe avaient été assassinés lors du crime de guerre le plus odieux jamais commis par l’humanité.