“Il faut déconstruire le narratif de Poutine”, assène le petit branleur cravaté du “talk” de la nuit… Un autre, commentant le spectacle de 95 000 Russes rassemblés dans un stade moscovite pour écouter “le Maître du Kremlin” : “vous savez en Russie, on paye les gens pour être rassemblés là. Et quand bien même, ce pourrait être des fonctionnaires qui n’ont pas le choix. Si vous ne participez pas à ce genre d’évènement, votre carrière peut s’en ressentir…” (Mais en France, on fait pareil pour Macron !!!). Un troisième, oubliant la Serbie, l’Irak, l’Afghanistan et quelques autres : “on voit bien que l’objectif de Poutine n’est pas militaire. Il bombarde des zones habitées ; alors oui, on peut parler de crimes de guerre…”.
C’est tout le temps maintenant que cet Occident de la Grande Utopie Progressiste – qui se mesure de Californie jusqu’en Galicie – déroule son programme de destruction de tout ce qui n’est pas lui. Soros et ses potes tentent une démonstration de force à l’occasion de cette crise provoquée par eux, pour eux, pour leur plus grand bénéfice. Oui, ils veulent depuis longtemps contrôler cette Ukraine si riche de ses sols et de son sous-sol, et par là-même boucher toujours plus l’horizon et l’avenir de la dernière nation blanche de la planète.
“Nation blanche”… “fascisme déracisé” pour leurs esclaves woke, créatures mongoloïdes sorties de leurs foireux laboratoires, couramment appelés “Think Tanks”. Alors ils désinforment sans retenue ni scrupules et les médias – surtout ceux contrôlés par les États – sont leurs complices. Que de pseudo-journalistes, pseudo-experts et pseudo-humanitaires pour leur servir la soupe ! Ces sur-zélés zélotes se surpassent dans le grand n’importe quoi, ne prenant même plus la peine de filtrer les déclarations venues d’Ukraine, déplorables porte-voix d’une propagande grossière et caricaturale. Partout, les entreprises mondialisées se parent du bleu et jaune ukrainien, reniflant une obscène compassion dans leurs mouchoirs bio et renouvelables. Gare à celui qui n’exécute pas les figures obligées de la grande solidarité européenne – le Black Lives Matter des Blancs, c’est maintenant, quelle chance ! Et ils préparent déjà le coup d’après qui s’appelle “crise énergétique”… vers toujours plus de dépendance, de déférence et d’enthousiasme pour les sauveurs du Marché et leurs serviteurs politiques. Soumission toujours plus consentie. Auto-muselage. Perte totale du sens critique. Aliénation de la conscience. Fin de l’Histoire.
Verre à moitié vide ? Même pas : il ne reste plus que quelques millilitres d’espoir au fond du verre sale de l’humanité. Qui voudra encore y tremper son âme asséchée ?
J.-M. M.