Les cacatoès fugitifs de Hong Kong pourraient-ils sauver l'espèce ?

Le troupeau sauvage de la ville prospère tandis que la population mondiale de cacatoès est menacée

Un après-midi de fin août, un orage est passé sur Hong Kong Park, le green de 20 acres au milieu du quartier financier de la ville. La pluie a trempé les feuilles des camphriers et des cotonniers, et chaque grondement de tonnerre a envoyé des volées d'oiseaux blancs hurlants hors de la canopée et dans les airs.

Les oiseaux, une forte volée de deux douzaines de cacatoès à crête jaune, tournaient dans le ciel, leur corps d'un blanc éclatant contre les vitres noires brillantes des tours bancaires internationales. Quelques-uns se sont installés sur les arches incurvées de la volière Edward Youde du parc. L'un croassa et la crête jaune qui a donné son nom à l'espèce jaillit de sa tête comme le panache d'un hoplite.
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Depuis que Jacadi est là, plus un chat dans mon jardin, donc moineaux tranquilles, mais les tourterelles ne savent plus où trouver leur nourriture car à terre elles sont immédiatement chassées par un forcené. Il faut que je trouve une solution.