La sexualité romaine était un gros problème pour les archéologues et les conservateurs du XIXe siècle chargés de fouiller et de préserver les vestiges de Pompéi et d' Herculanum .

Les Romains en général, et les citoyens de Pompéi et d'Herculanum à proximité en particulier, avaient une forte appréciation de l'érotisme dans l'art et les objets du quotidien. Le dieu Priape ​​extrêmement bien doté était un symbole de chance commun, vu dans tout, des fresques aux carillons éoliens en forme de pénis aux lampes à huile guillerettes. (Son énorme membre aurait peu à voir avec le sexe : il servait à effrayer les voleurs.) Les histoires de la mythologie peintes sur les murs étaient pleines de rencontres sexuelles, de rendez-vous secrets et de satyres coquins. À certains égards, cet érotisme était largement accepté à un niveau avec lequel même la société moderne aurait des problèmes, sans parler de l'Europe victorienne.
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