Mélenchon : son passé nazi ressurgit
Après, sont venus les thanatopracteurs qui ont tenté de maquiller le cadavre – Mitterrand est décédé en 1996 – afin de le rendre présentable pour les générations futures.
Et Mélenchon, dans tout ça ? J’y viens.
Mélenchon a toujours fait mystère de son passé trotskiste. Qui au fil des ans est devenu aussi limpide que la francique de Mitterrand :
https://www.liberation.fr/politique/melenchon-plombe-par-son-passe-trotskiste-20230315_2XJSW2ICSZD4LOKAFDSYBMMNHY/
Oui mais « trotskiste un jour, trotskiste toujours », donc notre leader maximo a été, est et restera trotskiste, jusqu’à ce que la Grande faucheuse ne l’enlève à notre affection.
Quand on parle de trotskisme, on rentre forcément dans les chapelles, alors précisons : Méluche est un trotskiste lambertiste. Ça ne vous dit pas forcément quelque chose, mais le lambertisme est une des principales branches du trotskisme. Or en 1942, les trotskistes dirigés par Pierre Lambert – d’où leur nom – ont rejoint le Parti Populaire Français (PPF) de Jacques Doriot, lequel – venant du Parti communiste français, allié aux nazis de septembre 39 à juin 41 – a affiché un collaborationnisme zélé avec l’occupant allemand pendant toute la Seconde Guerre mondiale. Pour Lambert et ses affidés, la fraternisation des travailleurs français avec les soldats allemands est à l’ordre du jour. « Derrière chaque soldat allemand se cache un travailleur » fut la devise de nos trotsko-kollabos. Un lambertiste 33e dan comme Mélenchon ne peut évidemment ignorer cette histoire. Il l’assume parfaitement.
https://ripostelaique.com/melenchon-son-passe-nazi-ressurgit.html