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Il n'est rien, il est vide, il est président ...
Une campagne sans les campagnes ...
Une femme peut se targuer d’avoir, la première, lancé en octobre 2018 par une vidéo devenue virale (6 millions de vues) le mouvement qui deviendra célèbre sous le nom des Gilets Jaunes. Cette femme s’appelle Jacline Mouraud. Nous avons suivi avec ferveur ce mouvement authentiquement populaire – certains d’entre nous y contribuant à l’occasion. Nous avons retrouvé cette femme, lucide et décidée, aux côtés d’Éric Zemmour, qu’elle rejoignit parmi les premières à l’automne 2021 – elle devint même membre du comité de pilotage de sa campagne, au titre de son parti politique «Les Émergents». Native de Guérande, cette femme intrépide aux multiples talents fut agent de sécurité incendie avant de se reconvertir dans l’hypnothérapie, notamment pour combattre l’addiction au tabac. Compositrice et accordéoniste, Jacline Mouraud a aussi travaillé dans des salles de danse et de concert et participé en tant qu’accordéoniste à de multiples festivals de musique. Nous avons demandé à cette Française d’exception de résumer ce que fut pour elle la campagne présidentielle.
Des chefs sans légitimité
Le premier tour fut conforme à ce que les « magouilleurs » d’élections avaient préparé : le duel Macron face à Le Pen a parfaitement fonctionné, tant la population française est devenue manipulable grâce aux médias notamment. Le second tour fut conforme, pour les mêmes raisons, à ce qui était prévu. Gustave Le Bon a vu la mise en pratique de sa « psychologie des foules », dans ce qu’elle a de plus rédhibitoire et abject. Tous les candidats ont perdu la légitimité des chefs, y compris le Président de la République. L’abstention ajoutée aux votes blancs et nuls forment maintenant le premier parti de France, et les interprétations journalistiques masquent, encore et toujours, la réalité des Français. Emmanuel Macron va-t-il, pendant encore cinq longues années, bafouer le peuple de combattants que nous sommes ? Si les faits me donnent raison, plus rien n’empêchera alors de graves évènements sociaux de se produire. Nous sommes aujourd’hui au bord de l’abîme, nos lendemains chanteront-ils ? Car nous autres, Français des campagnes, sommes comme l’hirondelle de la fable :
« Nous n’écoutons d’instincts que ceux qui sont les nôtres Et ne croyons le mal que quand il est venu. »
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Tags : campagne, femme, premier, fut, francais
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