Dans les entrailles obscures du monde criminel japonais, un nom apparaît, enveloppé de mystère et d’intrigues : le Kobe Yamaguchi-gumi.
Dans The Kobe, la formation du Yamaguchi-gumi a marqué un moment charnière dans le paysage criminel du Japon, conduisant à des conflits territoriaux et à des luttes de pouvoir qui ont captivé l’imagination du pays. (listverse)

C'est le patron Yakuza le plus dangereux ...

La scission du Yamaguchi-gumi d’origine, le plus grand syndicat yakuza du Japon, a été motivée par des conflits internes qui ont conduit à l’émergence d’une faction dissidente connue sous le nom de Kobe Yamaguchi-gumi. La division, survenue en 2015, résultait d’allégations de déloyauté envers le chef de Yamaguchi-gumi, Shinobu Tsukasa, provoquant le mécontentement de certains membres.

Le nouveau Kobe Yamaguchi-gumi, dirigé par Kunio Inoue, compte environ 3 000 membres, contre 23 400 membres pour le groupe Yamaguchi-gumi. La scission a suscité des inquiétudes quant à d’éventuels conflits violents entre factions rivales, compte tenu de la profonde implication de Yamaguchi-gumi dans des activités criminelles et de son statut de syndicat du crime organisé le plus riche au monde, évalué entre 6 et 10 milliards de dollars.

Malgré des mesures strictes de lutte contre la criminalité et des efforts visant à limiter l’influence des yakuzas, les autorités sont restées vigilantes quant à la possibilité d’une reprise des violences. La scission était enracinée dans le principe familial oya-bun/ko-bun, et l'image traditionnelle et dure du yakuza a évolué, les gangsters modernes préférant les rôles commerciaux conventionnels. La taxation des cotisations autrefois non imposables a également eu un impact sur le paysage financier des yakuzas. Bien que la scission puisse signaler une restructuration potentielle du monde yakuza, les activités commerciales devraient se poursuivre comme d'habitude, ce qui présentera des défis importants pour les autorités dans leurs efforts continus pour éradiquer complètement la présence du gang.