Les nouvelles espèces évoluent à partir de leurs prédécesseurs, n'est-ce pas ? Ce beau processus n'est pas nouveau et est généralement lié à la théorie de la sélection naturelle de Charles Darwin.
La sélection naturelle se produit lorsqu'une espèce est mieux à même de s'adapter à son environnement, à son régime alimentaire, à ses prédateurs, à l'accouplement, etc. Cette capacité d'adaptation donne à une espèce de meilleures chances de survie et de reproduction éventuelle. La même capacité d'adaptation est transmise de progéniture à progéniture, transformant finalement l'espèce d'origine en une nouvelle créature plus évoluée. Malheureusement, les espèces incapables de s'adapter meurent. Donc, la morale de l'histoire, le changement, c'est bien !
Bien que nous puissions tous convenir que la sélection naturelle a lieu, nous pouvons avoir des idées différentes sur ce qui est considéré comme normal ou étrange en matière d'évolution. Le normal est ennuyeux, alors examinons certains des produits les plus étranges de l'évolution ! (listverse)

Piège à mouches de Vénus ...

Quand nous pensons aux prédateurs de la nature, nos premières pensées ne sont pas une plante. Il existe cependant peu de "mâchoires" plus célèbres que celles de l'attrape-mouche de Vénus. Malgré son nom, le piège à mouches de Vénus se nourrit principalement d'araignées, de fourmis et de mouches. Ne mettez pas votre doigt à l'intérieur de ses feuilles en forme de « V » ; il vous serrera plus vite que vous ne pouvez dire "Piège à mouches de Vénus!"

Originaire des Carolines des États-Unis, l'attrape-mouche de Vénus se trouve dans son habitat naturel de zones humides marécageuses acides. La plante, bien sûr, peut aussi faire de la photosynthèse, comme toutes les plantes évoluées avec des molécules de chlorophylle. Pourtant, le sol de la Caroline, dépourvu d'une abondance d'azote, signifie que le piège à mouches de Vénus "remplit" ses niveaux de nutriments par des moyens carnivores. Mâchez, grignotez.