En politique, celui qui peut le mieux influencer les médias internationaux pour faire avancer son point de vue a la haute main, disent les initiés politiques en communication. Et ce n'est pas seulement le cas pendant les campagnes électorales : dans l'Union européenne, le pouvoir de décision ne dépend pas seulement de la taille de l'économie d'un politicien donné, mais aussi de la façon dont il traite avec les médias internationaux.
Ce n'est un secret pour personne qu'à Bruxelles se trouve une machine médiatique bien huilée, qui peut diffuser de l'information à tous les grands médias à travers le continent en très peu de temps. La machine, qui a augmenté en influence depuis les crises financières qui ont éclaté en 2008, fonctionne sur la base du maintien de l'anonymat des sources des journalistes qu'ils alimentent ; l'un des principes sacrés de l'éthique journalistique.
Cependant, si ici aussi (U.S.A.)le  principe de l'anonymat est utilisé pour protéger la machine elle-même à Bruxelles on fait en sorte qu'elle demeure cachée à la vue du public. Aucun journaliste dans la capitale belge est disposé à risquer son emploi pour exposer comment le système fonctionne, tout en préservant ainsi un «code du silence» autour de ce système.
Ils appellent ça la démocratie !!!