De l’incendie d’Alexandrie à l’Alcazar de Marseille, l’islam reste l’ennemi du savoir
Selon la tradition islamique, l’ordre de brûler la bibliothèque d’Alexandrie fut donné par le deuxième calife Omar Ibn Khatab (584-644). En 640 de notre ère, les Arabes, sous la direction de Amr ibn Al-Ass -général arabe conquérant de l’Égypte – mais un doute demeure quant à la véracité de ce récit – prirent Alexandrie après un long siège. Toujours selon la légende islamique, les cavaliers d’Allah avaient entendu parler d’une magnifique bibliothèque contenant toutes les connaissances du monde et étaient impatients de la voir. Mais le calife Omar, indifférent à cette vaste collection d’ouvrages englobant toutes les connaissances de l’époque, aurait déclaré : “Soit ils contredisent le Coran, auquel cas ils sont hérétiques, soit ils sont en accord avec lui, et alors ils sont superflus”. C’est ainsi que le feu ravagea la magnifique bibliothèque d’Alexandrie, par l’ordre du représentant d’Allah sur terre.
Peut-on comparer ce qui s’est passé en France, à la fin du mois de juin 2023, où des bibliothèques et des médiathèques sont parties en fumée avec l’incendie d’Alexandrie ?
Alors peut-on dire que la bibliothèque Alcazar de Marseille a subi le même sort à la fin du mois de juin 2023 que la bibliothèque d’Alexandrie, au VIIe siècle, par l’ordre donné par le deuxième calife ‘bien guidé’ Omar ? Le passé de l’islam barbare ne s’est-il pas réveillé brutalement en ce mois de juin 2023, démontrant ainsi sa haine destructive envers la science sous toutes ses formes et surtout la philosophe ? Et celui qui prétend le contraire, chiche qu’il le démontre par des preuves historiques mais pas par le mensonge et l’enfumage. Et je serai le premier à le défendre.
Les émeutiers n’aiment pas le savoir et l’islam plus encore, car la science le concurrence en détruisant tous ses dogmes du halal et du haram. Ces émeutiers que la presse présentent comme des anges ont la haine de tout ce qui leur fait rappeler l’Occident mécréant et ses progrès techniques et scientifiques où ils vivent, en profitant pourtant de tous les avantages sociaux qu’il leur offre, sans distinction de religion. Par contre, ils pensent chaque minute de leur existence au RSA et à la CAF, comme si l’argent déversé par les organismes sociaux en leur faveur n’était pas illicite. Cet argent, ne provient-il de l’usure (riba) et de l’impôt prélevé sur la vente de la viande non halal et du vin ?
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