• L'obsession de la mort à l'époque victorienne ...

    Les bijoux de deuil ...
    Alors que les bijoux de cheveux pouvaient être faits même si la mort d'un être cher était soudaine et inattendue, ce n'était pas assez pour certaines personnes. Si quelqu'un savait qu'il allait mourir dans quelques mois, il commandait parfois des bijoux spéciaux pour l'occasion.
    Une femme en particulier, Ada Lovelace, a été diagnostiquée d'un cancer en 1852. À l'époque, c'était une condamnation à mort absolue. Alors, elle a écrit des instructions pour que des anneaux spéciaux soient faits pour son mari et sa fille aînée. Sur la bague de son mari, elle a écrit qu'elle espérait que leurs âmes seraient éternellement liées. Même si elle ne s'entendait pas très bien avec sa fille, elle a dit qu'elle honorait sa «sincérité». Pour ses deux plus jeunes fils, elle a laissé de l'argent, leur demandant d'acheter des bagues en son honneur.
    Mme Lovelace n'était pas la seule à donner des bagues de deuil non plus. Les documents et les journaux de l'époque victorienne racontent des histoires de bagues spécialisées que les gens portaient en souvenir de leurs disparus.

    Là, c'est une bague de deuil en cheveux tressés ...

    L'obsession de la mort à l'époque victorienne ...


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