Entouré de monarques ou d'une couverture de feuilles bleues, Fares Micue ( auparavant ) capture des autoportraits aux compositions éclatantes. La photographe basée en Espagne cache son visage et se concentre plutôt sur les éléments organiques qui entourent son torse. Qu'il s'agisse d'une série d'oiseaux en origami ou de brindilles jaunes et rouges ressemblant à des flammes, les ajouts naturels se fondent parfaitement avec Micue, qui plie et tord sa silhouette pour suivre les formes galbées des objets disposés.

Dans une note à Colossal, la photographe a déclaré qu'elle était plus encline à créer depuis le début de la pandémie COVID-19 en cours, considérant son travail comme une invitation à la réflexion personnelle. «Je suis fermement convaincu que la façon dont nous pensons et ressentons la vie est la façon dont nous percevrons la réalité. Nous devons entraîner notre cerveau à toujours rechercher le bon côté et à trouver de l'espoir dans la désolation », dit-elle.
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