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La cacophonie du Président et de son non-gouvernement ...
Je passe sous silence le seul fait vraiment marquant (à ce jour) de ce second quinquennat : les banlieues (rebaptisées ''quartiers'' en novlangue, comme pour atténuer l'horreur qui s'y prépare (Tu parles ! Elle est là depuis longtemps, l'horreur, mais nos politiciens aux têtes vides refusent de la voir !) : banlieues ou quartiers sont entrés en sécession, soumis à un islam politisé, mais avant tout anti-français, anti-blanc et anti-intelligent, lui-même soumis (c'est la définition du mot ''Islam'') à la bonne volonté des ''grands frères'' et des ''éducateurs'', et à la seule décision des caïds de la drogue (fonction du niveau de leurs ventes de poisons), événement difficilement guérissable que le Pouvoir, dans sa lecture infantile des faits (voir Ezechiel, ci-dessus !) croit avoir interrompue grâce à sa sublime intelligence (Sic !). Comme quoi toutes les croyances sont possibles ! Cette seconde cacophonie était digne des bras cassés qui entourent la Présidence. On était loin d'avoir tout vu !
Le troisième drame de ce triste mois de juillet est venu du soi-disant ''remaniement ministériel'' qui a consisté en un jeu de chaises non pas réputées musicales, mais cacophoniques, elles aussi. Comme nous avions annoncé la semaine dernière ce qui allait se passer et que la séquence prévue a été suivie comme si nous étions les initiateurs de ce ''bal des nuls'', il y a peu à en dire, d'autant que Philippe de Villiers a, à son habitude, parfaitement décrit le seul changement important de ce ''coup-pour-rien'' : le remplacement, à l'éducation nationale, d'un sinistre pro-woke par un sinistre pro-LGBT... (NDLR : le concert de cris des vierges effarouchées de gauche qui a suivi l'énoncé de cette vérité première (insupportable, puisque vraie) a été le seul moment agréable de cette semaine ratée en tout, pour tout, et sur tout !)
Comme si tout ça ne suffisait pas a rendre les français encore plus ''paumés'', ils ont ensuite eu droit à un mauvais ''remake'' de ''causerie au coin du feu'' par leur Président qui (par souci d'économie, sans doute) a préféré s'adresser à eux depuis Nouméa que depuis le Faubourg St Honoré : on risquait moins d'entendre le gai tintamarre des casserolades qui ''cacophonisent'' (si j'ose !) épisodiquement ses prestations ratées. Mais au fond, vu des palais de la République, pourquoi faire simple quand on a la chance de pouvoir faire compliqué ? Le seul ennui (à part l'ennui intrinsèque que notre Président secrète comme d'autres l'envie de rire ou de pleurer...), c'est que, comme à chaque fois, il n'a rien eu à dire, sous son flot énarchien de répétitions vides de tout bon sens. En résumé : ''Circulez, y a rien à voir''... Pourquoi se donner en spectacle alors que l'on a vraiment rien à dire ? se demandent de plus en plus de braves gens. A ce jour, la question est sans réponse.
Claude Henrion (extrait) sur Tumblr
Tags : seul, president, rien, dire, cacophonie
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