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La France entre dans le club très ouvert du tiers monde !!!
Qui ose encore parler aujourd’hui d’autorité ?
"Liberté, égalité, fraternité". Cette devise de la République française inscrite sur le fronton des mairies et des bâtiments publics signifie-t-elle encore quelque chose dans la France de Macron ? Inscrite dans la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, adoptée par la IIe République en 1848, la devise a été reprise dans l’article 2 de la constitution du 4 octobre 1958. Elle a pour principe le « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ». On en est bien loin aujourd’hui !
Le pouvoir s’assoit sur la volonté du peuple. On vient d’en avoir une nouvelle fois la preuve avec la réforme des retraites rejetée massivement par l’opinion. Peu importe pour l’exécutif qui s’est affranchi du vote des députés pour passer en force avec l’article 49-3. Pour être constitutionnel le procédé est pour le moins despotique. Passer par un référendum comme le demandait l’opposition ? Trop risqué pour Macron qui voulait coûte que coûte faire passer l’âge de départ à la retraite de 62 à 64 ans. Et le Conseil constitutionnel a validé la loi qui a été aussitôt publiée au J.O.
La France ressemble de plus en plus à un pays du tiers-monde. Elle croule sous les dettes. Le pouvoir d’achat des ménages est grignoté par l’inflation. Prés de 10 millions de Français vivent sous le seuil de pauvreté. L’insécurité liée à une immigration incontrôlée a gagné en quelques années l’ensemble du pays. Les atteintes aux biens et aux personnes sont en constante augmentation. Les fusillades mortelles liées au trafic de drogue se multiplient et l’État se montre incapable de répondre à cette montée de la violence. Son autorité est d’ailleurs contestée par des pans entiers de la société. Le mot autorité lui même est suspect. Il a comme un relent de fascisme pour les insoumis et autres militants d’extrême gauche.
La contestation de l’autorité touche à peu prés tous les domaines. Les forces de l’ordre, policiers et gendarmes, confrontés à des manifestants de plus en plus violents, mais aussi et plus surprenant, les pompiers venus éteindre des incendies de poubelles. L’école n’échappe pas au phénomène. Quel enseignant ne s’est pas plaint du manque de respect de ses élèves, quand ce ne sont pas les parents ? Les personnels soignants sont aussi confrontés à l’agressivité de patients dans les cliniques et les hôpitaux comme l’actualité vient encore de nous le montrer avec la tragique attaque au couteau au CHU de Reims. Les élus, au premier rang les maires, ne sont pas épargnés par cette montée de la violence qui gangrène la société.
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Tags : france, montre, peuple, constitution, violents
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