La Coupe du monde de rugby, qui se déroule en France, est un formidable révélateur des clivages français. Nous avons assisté autour de l’équipe de France à une grotesque tentative de déstabilisation orchestrée par la France Insoumise et son député Thomas Portes, surnommé le komsomol pyrénéen. Remettant en cause la présomption d’innocence dont ils se servaient pour défendre Adrien Quatennens, ils ont orchestré une campagne crapuleuse contre le joueur Chalureau, qu’ils ont accusé d’avoir tenu des propos racistes lors d’une bagarre nocturne, en 2020, alors qu’il n’a pas été encore condamné. Le vrai problème étant que les Insoumis souhaiteraient que l’équipe de France de rugby ressemble à l’équipe de football, alors qu’il demeure une majorité de Blancs chez les Bleus, pas assez créolisés, donc, selon le logiciel de Mélenchon et ses sbires.

Nous avons ensuite la formidable cérémonie d’ouverture orchestrée par Jean Dujardin. Un moment de bonheur qui a enfin rendu hommage à cette France des campagnes, cette France du rugby, qui a ému des millions de Français et rappelé une époque où la France était encore la France, avec un hommage à la bonne nourriture, au vin, au pain, à la fête et à tout ce qui fait la culture rurale.

Naturellement, la gauche, dans son ensemble, ne pouvait admettre un tel hommage à notre pays et à son mode de vie. Elle aurait voulu une cérémonie wokiste, avec plein de diversité, des trans et des LGBT, des messages antiracistes et toute la propagande. Ils ont vu dans cette hymne aux campagnes l’hommage à une France moisie, rance, archaïque, celle sur qui crache régulièrement les BHL, Cohn Bendit, Mélenchon, Rousseau et toute la mafia post-soixante-huitarde.
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