• La victime maintenant, c'est l'assassin, le violeur ...

    La disparition de la prise de conscience du mal

    Le déni devient contagieux dans nos sociétés dites « évoluées ». En témoignent les exemples des affaires citées dans cet article. Quelles en sont les causes ? La question est posée aux sociologues, psychiatres, psychologues, magistrats, éducateurs, etc. Une chose est sûre, on ne peut pas ne pas faire le lien entre l’abêtissement des masses et un phénomène de déresponsabilisation individuelle, qui traduit une disparition de la prise de conscience du mal.

    La non-maîtrise de la langue française prive les individus des outils nécessaires à la structuration de leur conscience. On peut aussi penser que la forme raccourcie du langage, très largement en usage sur les réseaux informatiques (réseaux sociaux et autres), participe de la mise en place d’un système de raisonnement étriqué, qui se répand à la vitesse grand V.

    Cela suffit-il à expliquer ce phénomène contagieux du déni ? Non, bien évidemment. Mais pour un psychopathe, un pervers narcissique ou un névrotique la non-maîtrise des outils du langage aggrave probablement le comportement asocial.
    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/fiona-maelys-alexia-deni-et-201154

     

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