Apparu pour la première fois en anglais en 1607, le mot « pimp » proviendrait de l'infinitif français « pimper » qui signifie s'habiller avec élégance. De nos jours, cependant, le terme a pris un tout nouveau sens honteux (proxenete). Néanmoins, une telle ligne de travail ignoble a eu sa part de moments colorés dans l'histoire. De l'époque de Caligula au 21e siècle, les dix suivants explorent le monde souterrain obscène d'une « profession » qui a été à la fois vilipendée et vénérée (selon le parti) pendant des siècles et peut-être des siècles à venir. (Listverse)

Players Ball de Chicago ...

Chaque année, des centaines de proxénètes vêtus de manteaux de fourrure vifs et accompagnés d'une écurie de prostituées se réunissent au Players Ball annuel de Chicago. Le shindig de novembre est une tradition depuis 1974 lorsqu'il a été fondé par le légendaire Don "Magic" Juan qui prétend que "le Players Ball rassemble les gens pour reconnaître que le proxénète est un travail difficile, malgré ce que le public pense". Il n'y a pas de reconstitution historique ou de performances, simplement une fête absurde d'excès où des récompenses sont présentées à l'échelon supérieur des proxénètes. Le prix de la soirée, "Pimp of the Year", est décerné au "Mack" le plus connu, le plus respecté et le mieux rémunéré. Les délibérations sur les critères du gagnant sont discutées - souvent discutées - autour d'un verre avec d'autres proxénètes avant qu'un vote final ne soit exprimé. D'autres catégories, bien que moins glamour, sont « Le souteneur international de l'année" ... etc