• Le respect de la nature OUI, l'écologie politique NON ...

    C’est un lieu commun de dire que les écologistes ne connaissent rien de la Nature. La Nature ne s’apprend ni ne se décrète. Elle s’expérimente dès le plus jeune âge.

    Elle apprend la force et la peur au petit homme qui la  traverse, la respire, la caresse.
    Elle lui enseigne la patience et le respect.
    Elle lui fait toucher du doigt le prix autant que le sens de la vie.

    Pensez-vous que les clowns politiques qui vous parlent d’éolienne et de carbone aient jamais passé une heure à observer une chouette dissimulée, à écouter le vrombissement des insectes dans une clairière l’été ou à respirer les flaques de méthane dans un marais ? Si c’était le cas, ils dynamiteraient les éoliennes et feraient des feux de bois.

    Ces marxistes chlorophylisés, tout cachés qu’ils sont dans les fougères de leur blabla héliotropique, aiment élaborer des théories subventionnées, adorent vous expliquer que vous expectorez trop de CO2 quand vous argumentez, que le monde que vous aimez est trop fossile, trop réac, trop phallo-quelque chose et que vous feriez bien de réviser vos positions archaïques si vous comptez garder un vague droit de cité sur cette planète maltraitée par toute la lignée de vos ancêtres Blancs.

    Ils ont réponse à tout puisque rien n’est vrai dans le monde factice qu’ils bâtissent, théorisent, peaufinent.

    Pourtant, ces ultimes avatars de feu la gauche politique française, champions de l’auto-hypnose, savent bien que leurs idées en carton-pâte recyclé ne passeront jamais le cap des urnes.

    Que les gens, le peuple des vrais gens, vomissent leurs idées farfelues, leurs approximations et leurs jugements à l’emporte-pièce...

    Alors ils leur reste les assoces, les ONG et les milliardaires progressistes qui les financent pour imposer leurs caprices minoritaires à une majorité définitivement silencieuse à force de n’oser rien dire. Ils existent dans les lobbies, les médias, les couloirs du parlement.

    Dans la rue, ils ne sont rien. Mais ils sont encore et toujours là pour faire de la politique, pour vivre, eux aussi, sur les institutions et le mille-feuilles administratif. Ils sont co-directeur de ceci ou délégué-adjoint à cela, prennent salaires, primes et défraiements en toute occasion, et vous expliquent au bar du TGV qu’ils se battent contre le réchauffement climatique.

    Ils sont les enfants de la décroissance occidentale, aussi appelée chaos civilisationnel.

    C'est pourquoi nous dirons – pour d’évidentes raisons à la fois sémantiques et organiques – que le qualificatif de “fumier” sied fort bien à l’écologiste.
    J.-M. M.

     

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