Macron préfère traquer les patriotes que les égorgeurs
Montrer des images crues de la barbarie islamique était prohibé et passible de lourdes amendes jusqu’à ces derniers jours.
Les femmes éventrées, les hommes émasculés, les enfants égorgés, les bébés la tête fracassée contre les murs, il ne fallait pas en parler. D’Alger à Tel-Aviv, en passant par Beyrouth, Bagdad, Kaboul, New Delhi, Colombo, Bangkok, Djakarta, Manille, Urumqi (capitale du Xin Jiang) le gouvernement français interdisait de diffuser des clichés de l’horreur.
Avec ces arguments spécieux, répétés ad nauseam : « Il ne faut pas généraliser. » Ou encore : « Montrer ces images sert l’extrême droite. » Et en novlangue de 2023 : « Stop à l’islamophobie ! »
Le prétexte : ne pas heurter la sensibilité de nos compatriotes
Plus fort que l’inversion accusatoire, Macronescu avait voulu faire condamner Marine Le Pen et Gilbert Collard en 2021 pour « apologie du terrorisme » (sic) parce qu’ils avaient publié des photos dénonçant les crimes de Daech. Un tribunal honnête (ça existe encore…) les avait acquittés.
Les assassinats de masse, monstrueux, du Hamas le 7 octobre 2023, ont eu un tel retentissement mondial qu’il n’était plus possible de cacher les taches de sang sous le tapis. Même si des « bonnes âmes » continuent à claironner « pas d’amalgame » comme des lapins crétins à la voix éraillée.
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Ils ont été jusqu'à mettre un bébé vivant dans un four !