J'arrête la voiture le long du bord du pâturage,
j'ai entassé des sacs de rafles de maïs à l'arrière,
et je sors.
Deux sifflets, un pour chacun,
et les sons familiers se rapprochent dans l'obscurité,
la cadence des sabots sur ​​le sol durci,
le souffle jumelé des narines curieuses, évasées.
Ils viennent, mouvements approfondis et musculaires
conjuré du sommeil : chaque petit bruit et l'odeur
lourde de la terre, au-delà d'une simple communion,
au-delà de la main tendue qui les calme
ils prennent les épis de maïs,
écartant leurs dents d'où je les tiens.
Ils prennent soin de mes doigts,
offre faite à l'animal par quelqu'un de connu,
et dans la nuit, les yeux des juments brillent, reflétant les étoiles,
Tout la lumière extérieure du monde est ici.
Jane Hirshfield