Chaque année, de nouvelles espèces de flore et de faune sont enregistrées par des biologistes intrépides qui se promènent dans la brousse. Les anthropologues passent leur vie à en apprendre davantage sur les personnes recluses dans leurs profondeurs les plus profondes. Au fil du temps, les scientifiques cartographient lentement les mystères de la jungle.
Cela demande beaucoup de travail, mais les chercheurs continuent de développer de meilleures méthodes d'observation. À leur tour, ils résolvent des mystères confus sur le monde humide sous la canopée. Mais même avec tout ce que nous savons aujourd'hui sur les écosystèmes des forêts tropicales, il y a encore tellement d'inconnues. (listverse)

La découverte incertaine du singe Titi à queue de feu ...

La période de deux ans de 2014 à 2015 a été une grande période de succès pour les biologistes. Au cours de ces deux années, ils ont découvert près de 400 nouvelles espèces dans la forêt amazonienne. Les jungles sont luxuriantes et denses, bien sûr. Il n'est donc pas surprenant d'entendre parler de nouvelles découvertes. Mais certaines de ces découvertes étaient essentielles pour comprendre le paysage menacé et ses habitants.

En fait, un, en particulier, était particulièrement fascinant. Le singe titi à queue de feu a été enregistré pour la première fois dans une section reculée de l'Amazonie dans le sud du Brésil en 2010. Les biologistes n'avaient cependant pas suffisamment d'informations à l'époque pour le classer. Les queues rouge vif des animaux ont attiré l'attention, mais ils étaient reclus et peu nombreux. Ils passent également toute leur vie en hauteur dans les arbres, ce qui rend l'observation difficile. Pendant des années, les chercheurs sont retournés dans la jungle, espérant plus d'informations.

En 2015, ils ont commencé à développer des connaissances sur les caractéristiques et le comportement du singe. Finalement, ils ont officiellement déclaré qu'il s'agissait du singe titi de Milton. Il est nommé en l'honneur de Milton Thiago de Mello, un primatologue brésilien. L'habitat de haute altitude des singes a rendu plus d'informations difficiles à obtenir. Même parmi les primates, ils sont réputés pour garder leurs distances et vivre en isolement. Ainsi, l'enregistrement des observations a été un processus lent. Les chercheurs sur la faune travaillent dur pour en savoir plus à leur sujet, mais leurs habitats éloignés se sont avérés difficiles. Aujourd'hui, les biologistes ne savent toujours pas grand-chose sur ces créatures arboricoles de la jungle.