Les rancunes mortelles de Macron

Tout chez Macron reflète son mépris et sa profonde détestation des Français et de notre pays dont il a la charge. Ce type nous hait. Il est résolu de nous faire le plus de mal possible : nous ruiner, briser sans rémission le corps social français, nous soumettre à l’eurocommunisme et à la Bochie.

À un compatriote, visiblement un de ses électeurs, qui, en 2019 au Portugal, m’interrogeait sur ce que je pensais de Macron, j’ai répondu : c’est un ennemi. C’est pire que cela. Il donne l’impression de quelqu’un qui veut se venger à nos dépens d’une manière mortelle et sans rémission d’avanies qu’il aurait subies autrefois, c’est-à-dire dans sa prime jeunesse.

Il est né en 1977 dans un milieu bourgeois aisé et a fait ses études secondaires dans un lycée privé huppé d’Amiens, la Providence. Une vidéo drolatique de Fabrice Éboué qui fut aussi élève de la Providence, témoigne du goût de Macron, déjà à cette époque, pour les peaux n*ires et de sa très proche relation avec sa professeur de français. En ces temps qui n’étaient pas encore ceux de la théorie du genre et de l’hyper-tolérance généralisée, ces « passions » n’ont pu que déclencher des critiques acerbes et surtout de cruelles moqueries jusqu’à son âge adulte et son mariage, peut-être parfois une ostracisation. On peut légitimement supposer qu’il en a conçu une furieuse amertume et une rancune mortelle . Tous ces cons de Français, je leur ferai payer ! Quant à la France ce pays de m….., elle ne devrait pas exister et, si je peux, je la ferai souffrir et si j’y arrive, la bousillerai.

Cela a dû le faire repérer par la super-classe. Attali, l’homme qui veut une gouvernance mondiale centrée à Jérusalem, a probablement joué son rôle habituel ainsi que Jouyet.
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