Soutien aux policiers, cibles de la Justice et de l’extrême gauche
Le 4 juillet 2020, le gendarme Mélanie Lemée, 25 ans, était tuée par Yassine El Aziz, un chauffard multirécidiviste, sans permis et drogué lors des faits, en refusant d’obtempérer à un contrôle.
Le 19 juillet 2023, le journal La Dépêche du Midi nous apprend que cet assassin vient d’être remis en liberté sous bracelet électronique. À peine 3 ans après avoir tué une gendarme…
Il va donc attendre tranquillement son procès, à l’extérieur, sans être incarcéré.
Comment la «justice» peut-elle avoir pris une pareille décision ?
Comment une société ayant un minimum de bon sens peut-elle laisser faire de pareilles choses ?
À Nice,le 23 juillet, à la suite d’un refus d’obtempérer et d’une course-poursuite, les auteurs des faits ont failli écraser un policier qui n’a dû son salut qu’au fait de plonger sur le côté pour éviter le véhicule qui lui fonçait dessus. Sinon il était percuté et certainement grièvement blessé, voire tué, vu la vitesse du véhicule qui refusait de s’arrêter. Après l’arrestation du conducteur, le parquet a refusé la qualification de « tentative de meurtre sur personne dépositaire de l’autorité publique ». Scandale parmi toutes les forces de l’ordre du département 06.
Comment le parquet peut-il refuser de qualifier ces faits de « tentative de meurtre » alors qu’ils sont pourtant évidents ?
Comment une société ayant un minimum de bon sens peut-elle laisser faire de pareilles choses ?
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