En France, on préfère mettre la charia avant les bœufs
Il n’est pas question ici de traiter nos compatriotes de bœufs, mais on peut sans hésiter reprendre la définition du général de Gaulle qui affirmait, en bon connaisseur, que nous étions des moutons et remplacer ce sympathique ovidé devenu prospère et sacré dans notre beau pays, notamment pour les raisons religieuses que vous savez, par le non moins sympathique bovin.
Depuis le XVIe siècle, l’aphorisme qui titre ce billet « mettre la charia, pardon, la charrue, avant les bœufs » explique le repos du paysan qui démonte la charrue pour la mettre devant les bœufs, signifiant ainsi la fin du labeur. Elle est plus généralement, depuis lors, utilisée pour signifier que l’on fait le travail dans le désordre, tout à l’envers. C’est ce qui se passe en France depuis plusieurs décennies ou l’on tente d’expliquer une montée exponentielle de la violence, des agressions sur les femmes, de la hardiesse des racailles – locales ou importées fraîchement -, de l’islam et du coût exorbitant de ces éléments pour notre pays. Il conviendrait pourtant de commencer à mettre drastiquement de l’ordre dans toutes ces occurrences – et de le maintenir vraiment – pour diminuer significativement le poids des dépenses qu’elles engendrent et les attribuer de droit aux Français, surtout les plus pauvres d’entre eux, qui s’inscrivent dans un comportement républicain « normal ».
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