Retraité depuis 2011, Jean-Jacques Chauvière cultive sa passion de pyrophile. Chez lui à Legé, sa collection ne compte pas moins de 17 500 briquets de toutes sortes.

Les gens d'ici

Lorsque vous entrez dans le sous-sol de la maison de Jean-Jacques Chauvière au 7, de la rue Jean-Claude-Grassineau, la discussion est toute trouvée : les premiers murs sont garnis de briquets. « A une certaine époque, je fumais beaucoup et possédais quelques briquets ! Voilà comment tout a commencé », sourit le Legéen. Aujourd'hui, 17 500 briquets sont confortablement rangés et classés dans la petite cave de Jean-Jacques. « Collectionner les briquets, cela ne s'invente pas ! C'est l'envie d'en posséder toujours plus qui me motive. La récolte est inépuisable », ajoute-t-il.

La collection de Jean-Jacques Chauvière a commencé dans les années 85 en compagnie de son fils Stéphane. Il habitait alors le village de la Parnière, à Legé. Les briquets commencent à s'accumuler sur les meubles, dans les vitrines. Des briquets par centaines de toutes tailles et de toutes formes. La passion de Jean-Jacques est née.

Avec son épouse Eliane, ils courent les vides-greniers et les brocantes. Mais c'est surtout par relations entre les copains et la famille, ou en rachetant des collections que le briquetophile s'est constitué une belle brochette de briquets. « Il n'y a pas une sortie ou un voyage sans rapporter un briquet dans mes valises ! », s'exclame-t-il.
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