Les temps difficiles ne semblant nullement en voie d’amélioration, bien au contraire, il est donc normal de se réjouir de la moindre gamelle ramassée par les cloportes qui nous gouvernent, dont il semble quasiment impossible d’en trouver un seul d’honnête et pétri de bonnes intentions à l’égard du peuple français, le vrai, par opposition à celui qui se clame fièrement “de papiers” !

Mais incroyablement, c’est pourtant ce qui se passe depuis hier, où l’un des plus éminents bras cassés de ce gouvernement de félons, vient de se prendre trois scuds successifs dans les dents, dont un en direct  de l’Assemblée nationale, où les vidéos de ce moment mémorable ont enregistré le teint blafard du morveux qui, n’ayant rien vu venir, se voyait déjà en haut de l’affiche comme chantait jadis Aznavour, non pas au music-hall, mais au sommet de l’État.

Il est vrai qu’ayant assisté de très près à l’incroyable ascension et l’ahurissante réélection du plus détesté des présidents de cette République française piétinée avec tant de constante fourberie, le nabot, tel le corbeau de la fable, ne se sentant plus de joie, envisageait un parcours identique dont la réalisation se situerait aux alentours de 2027…

Mais cela c’était avant ; avant que quelques factions d’une opposition disparate et souvent contradictoire dans ses desseins, s’avisent, exceptionnellement, de voter d’un même élan, un superbe camouflet au morveux N°3.

Un bonheur sans pareil pour tous ceux qui souffrent de ses mauvaises actions envers le clan des patriotes, portées au pinacle par ce minus se prenant pour un géant, bien que ne faisant que copier lamentablement les actions hystériques de son maître à penser actuellement en poste…

L’arrogance de ce minable l’ayant rendu si antipathique à presque tout le monde, rien de plus normal et logique que de se réjouir de sa triste tronche, tombé sur le cul à une vitesse foudroyante et si jubilatoire pour les Patriotes “persécutés” par ce misérable.
https://ripostelaique.com/une-branlee-en-direct-pour-moussa-cest-lallegresse-dans-les-chaumieres.html