Nous avons deux problèmes financiers : la classe dirigeante et les migrants ...

10 septembre 2022 Quentin Neuf

Depuis qu’une partie de mes revenus sont dans la tranche 30 % de l’impôt sur le revenu, je cherche un moyen de financer moins le Grand Remplacement.

Avoir une femme de ménage ? Je peux faire le ménage moi même. La choisir africaine qui parle à peine français comme la bourgeoisie parisienne ? Non. Ohé les bourgeois, nous le voyons que vous nous faites payer une partie des salaires de votre personnel de maison via l’impôt, ainsi que de vos chevaux de courses, de vos forêts, des « œuvres d’art » de vos enfants ratés qui s’auto-déclarent artistes. Vous vous goinfrez, faites de la politique et payez des lobbyistes pour vous goinfrez toujours plus. Et comme c’est dernière années c’est sans en laisser une miette aux Français, pire c’est en organisant leur Grand Remplacement, ne comptez pas sur moi pour empêcher un Mohamed de vous égorger ou vous fusiller. Pour l’instant les racailles ne s’attaquent qu’aux Français d’en bas mais ils pourraient s’enhardir. Monsieur TapiE et sa femme en ont fait les frais.

En France les 1 % les plus riches payent en proportions de leurs revenus moins d’impôts que les gens qui travaillent. Régulièrement il y a un politique pour rappeler que l’impôt sur le revenu ne représente presque rien dans les recettes de l’État et qu’il ne  faut pas en faire tout un plat. Alors supprime le connard ! Car il pèse énormément sur les gens qui travaillent et financent vos trains de vie de députés, sénateurs, ministres et autres parasites sociaux.

Nous avons deux problèmes financiers en France la classe dirigeante et les migrants. Ils nous coûtent un pognon de dingue et nous font vivre dans l’insécurité économique (licenciement, chômage) et physique (vol, viol, meurtre, maladie moyenâgeuse qu’ils ramènent de leur pays). Une fois débarrassé de ses deux problèmes nous vivrons beaucoup mieux en France.

Faites vos calculs vous aussi, et venez me rejoindre non pas sur les barricades mais au bord de l’eau.

Quentin Neuf