On parlait de feu Giscard.

Sa fin de règne était assez glauque aussi : montée du chômage et de la gauche, omniprésence du gauchisme universitaire, guerre de sécession chiraquienne, attentat copernicien, diamants centrafricains, assassinat du prince centriste de Broglie et noyade du ministre Boulin et j’en oublie sûrement...

... oui mais le métro était plus « White » et on entendait plus les Rubettes que NTM. Et on voyait plus de Funès ou Mireille Darc que Vincent Cassel ou Adèle Haenel. Et Coluche n’avait pas encore supplanté Le Luron. Et même Charlie c’était encore Choron et non ses sinistres successeurs.

Au fond l’atmosphère était déjà dépressive mais encore assez traditionnelle, et ça compte, avec le recul...

Pierre Robin
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