Parfois, un chapeau n'est pas seulement un chapeau. Les chapeaux que nous voyons tous les jours regorgent de significations secrètes et d'histoires controversées que nous n'attendrions jamais d'un couvre-chef aussi humble.
Tout vient de quelque part. Même ce que nous portons sur la tête au quotidien peut diffuser des messages surprenants ou perpétuer des traditions inattendues. Dans de nombreux cas, les connotations originales d'un chapeau sont la dernière chose que vous puissiez deviner aujourd'hui.
(listverse)

Les hauts-de-forme dominaient autrefois la politique ...

Les chapeaux haut de forme sont passés de mode lorsque leurs dépenses et leurs inconvénients ont fait que les chapeaux en tissu léger sont devenus populaires. Mais même après qu'ils soient devenus démodés pour l'homme du commun, ils avaient toujours une influence considérable en politique.

C'était la tradition pour un président américain d'être investi avec un haut-de-forme. Kennedy, cependant, a tué le chapeau présidentiel. JFK a en fait suivi la tradition de porter un haut-de-forme pour son investiture, mais il l'a enlevé pour son discours afin d'apparaître davantage dans l'air du temps. Cela a marqué le début de la fin pour le chapeau d'inauguration. Johnson ne portait pas de chapeau et a probablement mis le dernier clou dans le cercueil du haut-de-forme.

Mais le haut-de-forme était beaucoup plus influent au Parlement britannique, où le port d'un était une nécessité absolue. C'était tellement vital qu'un orateur devait même être "autorisé" à porter un chapeau mou parce qu'un chapeau dur "le soumettait à des maux de tête". Il y avait des protocoles très spécifiques pour le port du chapeau au Parlement. Le chapeau devait être enlevé en entrant, mis en place lorsqu'on était assis et enlevé à nouveau en se levant. Si un message de la reine était délivré, c'était chapeau bas. Pour soulever un point, l'orateur devait se couvrir la tête avec un chapeau. Le chapeau était si critique que si un membre du Parlement en plaçait un sur son siège et partait, cela signifiait qu'il réservait sa place, car partir sans lui était inimaginable.

Finalement, le large éventail de règles strictes de chapeau a râpé les députés. Après l'avoir qualifié de « point de ridicule » pour l'organisation, les exigences ont finalement été supprimées. De nos jours, tout député qui souhaite prendre la parole n'est même pas autorisé à porter un chapeau.