En raison de traditions culturelles ? Pour l'épanouissement personnel et le sens de l'identité ? Pour faire comme tout le monde quand c'est la mode ? Mais pourquoi les tatouages sont-ils si fascinants ? Est-ce les outils utilisés pour faire ces marques ou les histoires qui se trouvent sous la surface de l'encre ?
Cette liste rassemble un groupe diversifié de pièces de tatouage, de traditions et d'histoires intéressantes et répondant à certaines de ces questions.
(listverse)

Mai ...

est née à Raiatea, une île de la Polynésie française. Il a fui à Tahiti lors de l'invasion de Raiatea par les guerriers Borbora dans les années 1700. Le capitaine Wallis et son équipage à bord du HMS Dolphin ont été les premiers Européens à «découvrir» Tahiti vers 1767. Ils ont tenté de revendiquer l'île pour la Grande-Bretagne et d'écraser la résistance des indigènes qui ont combattu contre l'invasion.

Au fil du temps, de plus en plus de navires européens sont arrivés et les habitants de l'île ont souffert du manque de nourriture et du conflit avec les colonisateurs. Certains insulaires ont été ramenés en Angleterre comme «spécimens» mais ont péri pendant le voyage.

Quand le capitaine Cook revint en 1773, Mai (appelé à tort Omai par les Britanniques) demanda à les accompagner de retour en Europe afin de pouvoir se procurer des armes pour se défendre contre les hommes de Borabora et récupérer Raiatea.

Mai a été promené dans le pays par un autre Anglais, Sir Joseph Banks. Mai a rencontré de nombreux membres de la haute société, dont le roi George III. Avant que Mai ne revienne à Tahiti avec le capitaine Cook en 1776, il fit faire son portrait par le célèbre peintre Sir Joshua Reynolds.

Portrait of Omai a un Mai sans chaussures vêtu d'une robe blanche avec ses mains tatouées étendues pour attirer l'attention du spectateur. Les tatouages ​​de Mai étaient une série de points sur le dos de ses mains et autour de ses poignets.

Ses tatouages ​​ont montré son étrangeté au public européen. À l'époque, il était la représentation parfaite de l'idéal européen du «noble sauvage», considéré comme moins qu'humain.