• RIMA ... non ce n'est pas un nom de régiment !!!

    [EDITO] Pour Rimal Abdul-Malak, la liberté d’expression, c’est sacré ! (On peut rire ?)

    Gabrielle Cluzel

    Il y a deux jours, une violente passe d’armes a opposé, à l’Assemblée, la députée RN au ministre de la Culture Rimal Abdul-Malak. Le sujet ? Un tableau de « l’artiste » suisse intitulé Fuck Abstraction (sic), actuellement exposé au palais de Tokyo à Paris, et dont la députée dénonce le « caractère pédopornographique » : « En tant que membre de la commission culturelle, en tant que membre de la délégation des enfants, mais surtout en tant que femme et en tant que mère », dénonce « une scène de pédocriminalité » qu’elle décrit par ces mots : « Un enfant, à genoux, ligoté les mains dans le dos, forcé à une fellation par un adulte. » Pour elle, « rien ne justifie l’exposition d’une telle œuvre », « pas même, rajoute-t-elle, le prétexte de la dénonciation des crimes de guerre », puisque met en avant cette intention. « Le tableau est exposé dans la sphère publique, sans interdiction aux mineurs, depuis le 17 février dans un musée du XVIe arrondissement. » somme donc le ministre de la Culture : « Quand ce tableau va-t-il être décroché ? »

    Alors que l’Assemblée devrait être unanime pour que l’on décroche le tableau pédopornographique du musée de Tokyo, la ministre de la Culture, nous sert une infecte bouillie nauséabonde pour justifier l’injustifiable !
    Caroline Parmentier

    Pour voler au secours de ce ravissant chef-d'œuvre, le ministre de la Culture qui avait menacé de bâillonner CNews s’est donc faite chantre… de la liberté d’expression. Pourquoi se gêner ? Quant à laisser une œuvre dans son contexte et s’inquiéter des intentions de l'auteur, il semblerait que l’on ne se soit pas embarrassé des mêmes précautions pour le portrait de Danièle Obono, sur certaine couverture de Valeurs actuelles. Pourtant, c’était bien l’esclavage qu’entendait dénoncer l’article par lui illustré. Pour Valeurs actuelles, foin de la liberté d’expression et de la création ! De même lorsqu’en 2015, Marine Le Pen et Gilbert Collard ont publié des photos d’exaction de l’État islamique, leur idée était bien de les dénoncer. Pourtant, le parquet a requis leur renvoi en correctionnelle pour « diffusions d’images violentes ». Qui peut prétendre sérieusement que dans le domaine de l'image, il n’y a aucune limite ?
    https://www.bvoltaire.fr/edito-pour-rimal-abdul-malak-la-liberte-dexpression-cest-sacre-on-peut-rire/

     

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