11 juin 2022 Philippe Arnon

Il y a quelques jours, je déambulais dans le quartier Saint-Michel de la magnifique ville de Bordeaux que le maire serait bien inspiré de rebaptiser quartier Saint-Mahomet tant la gent du Prophète y est majoritaire. En sortant d’une délicieuse pâtisserie arabe (j’adore !), je me retrouvai derrière une mère et sa fille musulmanes toutes deux vêtues d’un khimar long et noir, je fus soudain saisi sur tout le corps par une sorte de grand frisson bienfaisant. Comme Descartes, Charles de Foucauld ou Charles Péguy, je venais d’accueillir au plus profond de mon âme une révélation … venant sans doute en ligne droite de Médine : pourquoi toujours bêtement taper sur l’islam alors que cette merveilleuse religion a compris il y a maintenant 14 siècles la nature de la femme et qu’elle n’a pas depuis varié d’un pouce sa conception.

La veille, un de mes amis me disait : « Tu sais Philippe, j’adore ma femme et si elle me quittait, je crois que je me flinguerais… mais putain ! qu’est-ce qu’elle peut être chiante, faut toujours qu’elle braille, elle n’est jamais contente ! T’as vu la gueule que j’ai ? et ben c’est à cause d’elle ! Elle me pompe vraiment l’air ». Combien de fois n’ai-je pas entendu (et vous aussi sans doute) des mecs dire la même chose ? Un érudit sunnite auteur d’un ouvrage compilant les actions et les enseignements de Mahomet, al-Boukhari, a écrit que celui-ci a dit : « L’enfer m’est apparu en rêve et j’ai constaté que la majorité était des femmes ingrates. Est-ce envers Allah qu’elles avaient été ingrates ? lui demanda-t-on. C’est envers leurs maris qu’elles avaient fait preuve d’ingratitude, répondit-il ; elles avaient méconnu les bienfaits qu’elles avaient reçus. Quand toute votre vie vous aurez comblé une femme de vos bontés et qu’à un moment elle trouve quelque chose (à reprocher), elle vous dira : « Jamais tu ne m’as fait aucun bien ». Ça, c’est de la lucidité : quel psychologue, bon sang, ce Mahomet ! Partout où vous les prenez et dans n’importe quel coin de la terre, toutes les femmes sont les mêmes. Alors les muzz, qui sont des pragmatiques et qui sont, comme chacun le sait, des gens d’amour et de paix, ont résolu dès le départ le terrible problème. Et ainsi, ils n’ont jamais été victimes de cette dialectique épuisante que nous, nous avons laissée se développer comme un horrible chardon sur le terrain sec de notre existence et tout au long de notre pauvre histoire d’hommes maltraités :
« Les hommes ont autorité sur les femmes du fait qu’Allah a préféré certains d’entre vous à certains autres, et du fait que les hommes font dépense sur leurs biens, en faveur de leurs femmes. Celles dont vous craignez l’indocilité, admonestez-les ! Reléguez-les dans les lieux où elles couchent ! Frappez-les ! »
https://ripostelaique.com/finalement-nous-les-hommes-on-a-tout-interet-a-devenir-des-muzz.html