• Une honte, comme les sherpas du Nepal ...

    David aime le Kilimandjaro, la sensation de froid et de douceur lorsque que l’on touche la neige.
    Pourtant, ce n’est pas par plaisir qu’il grimpe au sommet régulièrement mais simplement par nécessité.
    Depuis la mort de son père, à l’âge de 15 ans, il a dû arrêter l’école et commencer à travailler pour aider son foyer et sa famille.
    Ne parlant pas anglais, le seul travail que David peut exercer à Moshi est celui de porteur. A chaque voyage, il doit acheminer un sac d'une vingtaine de kilos jusqu'à Barafu Camp, située à 4800m, afin que les touristes ne manquent de rien sur la montagne.
    Son salaire, lorsqu’il en a un, n’est pas mauvais, mais le travail est irrégulier et difficile. Les agences touristiques ne s’intéressant pas à leurs employés mais à leurs clients. Quoi qu’il arrive, les touristes doivent partir de Tanzanie avec le sentiment que sur le Kilimandjaro, il n’y a pas de problème.
    Les porteurs sont souvent maltraités dans une indifférence troublante : peu de nourriture, pas d’équipement, pas de véritables abris, et des sacs souvent bien trop lourds.
    http://fr.ulule.com/lautre-kilimanjaro/
    http://www.pressreader.com/france/ouest-france-caen/20150703/281543699584654/TextView

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