• Vider nos poches pour remplir les leurs ...

    « La soupe doit être bonne »

    (Ca commence à se voir tellement qu'ils sont politiques pour leur égo et leur carrière mais pas pour le Pays ni le Peuple !!! Je parle bien entendu de ceux qui nous polluent depuis de Gaulle !!!)

    Quelle semaine ! Il paraît que janvier est le mois sans alcool (« dry january », qu’ils disent), mais après la semaine qui vient de s’écouler, on en ressort avec une sacrée gueule de bois. Une semaine folle qui commence avec ce suspense insupportable : « Nommera ? Nommera pas ? Nommera quand ? », écrit Marc Baudriller, qui ajoute : « Le sketch ! » Notre lecteur Roan garde cependant la tête froide : « Ce suspense n’a d’intérêt que pour nos brillants journalistes qui consacrent des heures d’antenne à ce sujet dont les Français se foutent éperdument. » Pas faux, d’autant que, pendant ce temps, la vie continue en France, comme on le verra plus loin, une fois évoquée cette grande semaine de théâtre politicien. Et notre lecteur d’ajouter, ne se faisant aucune illusion : « Premier ministre de Macron ! La première des qualités est d’avoir des aptitudes dans le domaine du paillasson… » Poséidon, lui, de son côté, fait un constat : « Ce qui me chagrine, dans l’exercice du pouvoir de Macron, c’est la facilité avec laquelle il "use" les ministres. Cinq ministres de la Santé, trois de la Justice, trois de l’Éducation nationale, quatre Premiers ministres. Et cela en six ans ! » De ce constat, il tire cette conclusion : « Cela prouve bien qu’il ne sait pas où il emmène le pays et qu’il n’a jamais su le conduire, si ce n’est à la ruine. Il peut donc, à sa guise, changer de ministres, ça ne changera rien. Une seule chose compte, pour ce technocrate : la dilution de la France dans l’Europe… »

    Le grand théâtre du remaniement et... du reniement

    Après le suspense, vint enfin la nomination. « Gabriel Attal n’a pas été fait Premier ministre par Macron mais par Pap Ndiaye », écrit Gabrielle Cluzel. Crusader abonde dans ce sens : « Après Pap Ndiaye, facile de jouer le shérif. Interdiction de l’abaya à l’école, mais comment pouvait-il en être autrement, devant la grogne grandissante des Français, idem sur le constat alarmant de l’état de l’enseignement. » De même Schmitt, face à la nomination de ce petit prodige à Matignon, ne tombe pas en pâmoison : « Il épouse toutes les tendances actuelles ! Mais il en comprendra vite les limites. On verra avec l’immigration, la sécurité, la santé, l’inflation, etc. Décisions faciles : l’abaya, le port de l’uniforme, le harcèlement. On verra les effets dans le temps… »

    Présentée comme l’antidote face à la montée du RN et, notamment, de Jordan Bardella, cette nomination, pour Libre Pensée, « est la première bourde de Macron : en opposant Attal à Bardella, il crédibilise ce dernier en Premier ministre qui n’en demandait pas tant ». Un RN qui, d’ailleurs, « reste zen », estime Marc Baudriller
    https://www.bvoltaire.fr/dans-vos-commentaires-la-soupe-doit-etre-bonne/

     

     

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