De nombreux animaux invertébrés se reproduisent par parthénogenèse, la division spontanée de l'ovule femelle sans l'aide du sperme mâle. Chez l'homme, cependant, la procréation est généralement considérée comme un jeu à deux joueurs.

Tout au long de l'histoire, cependant, il y a eu des allégations isolées de parthénogenèse humaine. Les femmes ont affirmé avoir eu des naissances sans assistance grâce au pouvoir de la prière, de la pensée ou de rêves particulièrement vifs.

Ou, peut-être, quelqu'un ne dit pas la vérité. (listverse)

Le premier (type de) cas de parthénogenèse humaine ...

En 1995, des généticiens britanniques ont signalé un cas de «parthénogenèse partielle», le premier jamais découvert par des scientifiques. La véritable parthénogenèse nécessite un œuf femelle autofécondé. Bien que les mammifères puissent parfois avoir des œufs qui se divisent spontanément, ils ne se développent généralement que jusqu'à devenir une tumeur bénigne, appelée tératome ovarien.

Cependant, lorsque les généticiens ont étudié le sang d'un garçon de 3 ans, ils ont découvert que ses cellules ne contenaient que des chromosomes X-X, au lieu des chromosomes X-Y attendus que les hommes portent habituellement. Malgré leur équipement le plus sensible, ils n'ont pu détecter aucun chromosome Y dans son sang.

La peau des garçons, cependant, contenait des chromosomes X-Y masculins typiques, ce qui a conduit les chercheurs à examiner de plus près son ADN. Normalement, un enfant recevra des chromosomes X de la mère et du père, mais ses chromosomes X provenaient exclusivement de sa mère. Selon le chercheur, le développement de l'enfant a commencé lorsqu'un ovule non fécondé s'est auto-activé et a commencé à se diviser (véritable parthénogenèse), et il n'a été fécondé que plus tard par un sperme, ce qui lui a permis de devenir un bébé à terme.

Alors que l'enfant, dans son ensemble, avait un père, son sang, semble-t-il, n'en avait pas.