De nombreux animaux invertébrés se reproduisent par parthénogenèse, la division spontanée de l'ovule femelle sans l'aide du sperme mâle. Chez l'homme, cependant, la procréation est généralement considérée comme un jeu à deux joueurs.

Tout au long de l'histoire, cependant, il y a eu des allégations isolées de parthénogenèse humaine. Les femmes ont affirmé avoir eu des naissances sans assistance grâce au pouvoir de la prière, de la pensée ou de rêves particulièrement vifs.

Ou, peut-être, quelqu'un ne dit pas la vérité. (listverse)

Soeur Joséphine Rosenthal...

Lorsque sœur Joséphine Rosenthal est tombée enceinte en 1742, ses consoeurs de son couvent isolé ont été déconcertées. Leur confusion a grandi quand un examen médical a déclaré que, non seulement elle était encore vierge, elle était également «incapable d'être enceinte», même si, compte tenu de son état, ce diagnostic semblait étrange.

Quand elle était enceinte d’environ 6 mois, elle a de nouveau été examinée et a été déclarée positivement avoir subi une «conception immaculée». Joséphine est décédée peu de temps après l'accouchement et le bébé, nommé Maria, a été pris en charge par les religieuses, qui croyaient qu'elle avait été envoyée par Dieu.

Sans surprise, Maria elle-même est devenue religieuse et a dirigé sa propre congrégation, malgré un grand scepticisme et même la condamnation pure et simple de la hiérarchie de l'église. Elle a écrit un certain nombre d'articles sur la condamnation de la femme au sein de l'église, qui peuvent peut-être être considérés comme les premiers textes féministes. Malheureusement, la plupart de ses écrits ont été perdus. Cependant, il reste quelques reliques de Maria Rosenthal, y compris certaines parties du corps et une fiole de son sang, qui sont conservées dans un reliquaire pour la vénération.

Le sang est censé avoir une signification particulière car, selon lui, cela prouve que Maria et sa mère, Joséphine, avaient des "traits génétiques rares" et étaient des hermaphrodites qui étaient capables de s'auto-imprégner spontanément et de donner naissance "sans souillure de péché".

À ce jour, cependant, aucun chercheur en génétique n’a été autorisé à étudier le sang miracle de Maria Rosenthal, qui avait été placé si commodément dans le reliquaire pour eux. À côté de son visage.