Selon la tradition islamique et suivant la biographie de Mahomet, écrite par Ibn Hicham au IXe siècle, le 28 septembre 2023 correspondant au 12 du mois de rabî Al awal 1445 du calendrier hégirien (lunaire) est l’anniversaire de la naissance du prophète de l’islam, Mohamed Ibn Abdullah (Mawlid Al-nabawi).
Selon la biographie écrite près de deux siècles après sa mort, sur ordre des califes abbassides, Mahomet serait né en 570 à la Mecque et mort en 632 après J.C à Médine(Yathrib), au Hedjaz (Arabie Saoudite). Cette biographie reste à vérifier, car aucune trace historique ne peut, pour l’heure, la confirmer.

Cet anniversaire n’est pas fêté par tous les musulmans. Pour les fondamentalistes musulmans, notamment les salafistes, fêter l’anniversaire de la naissance de Mahomet constitue un acte répréhensible, contraire aux ‘valeurs de l’islam’, est une bidâa, une innovation blâmable.

Mahomet est le fondateur par l’épée d’une religion expansionniste et messianique appelée islam ( soumission). Par cette idéologie mortifère, il a créé les conditions d’un totalitarisme sanglant, jamais observé avant lui. En bridant l’esprit de ses adeptes, il les a emprisonnés dans des dogmes invérifiables tout en les incitant à tuer et à se faire tuer pour Allah, dans le but ultime d’atteindre le paradis, car selon le dieu de la Mecque, la vie ici-bas ne vaut pas celle qui les attend dans l’au-delà où résident les soixante-douze vierges ( les fameuses houris), leurs futures épouses. Et dans l’espoir de les culbuter un jour, ils sont autorisés de tuer, de violer, d’égorger, de brûler et de razzier tous les non musulmans de la terre. Le coran et la sunna les poussent à commettre les pires exactions au nom des ‘nobles principes chariatiques’ afin que l’islam rayonne à travers le monde et qu’il soit toujours le plus haut.
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